Je me perds sans toi, je m'égare encore,
Je m'éloigne soudainement constatant mon cas,
Ce ne sont certainement pas les mêmes jours vécus, ne les sont absolument pas ;
Ce ne sont que des débris de souvenirs oubliés, les voir éparpillés ;
Je me trimbale jour et nuit, je ricane sans ennuie ;
Mais à dire vrai, rien ne me fascinait, personne ne m'attirait ;
Je me vois prisonnière sans jamais oser m'évader,
Je me soumets, sans jamais essayer de me libérer,
Le lendemain, attendant encore ce lendemain ;
Pour vu me séparer de ces illusions, me corriger ce présent ;
Je retiens son calme du désert et je reviens toujours à mon point de départ ;
Je ne m'avance, je ne me lève guère, je pleure seulement mon ère.
Je m'éloigne soudainement constatant mon cas,
Ce ne sont certainement pas les mêmes jours vécus, ne les sont absolument pas ;
Ce ne sont que des débris de souvenirs oubliés, les voir éparpillés ;
Je me trimbale jour et nuit, je ricane sans ennuie ;
Mais à dire vrai, rien ne me fascinait, personne ne m'attirait ;
Je me vois prisonnière sans jamais oser m'évader,
Je me soumets, sans jamais essayer de me libérer,
Le lendemain, attendant encore ce lendemain ;
Pour vu me séparer de ces illusions, me corriger ce présent ;
Je retiens son calme du désert et je reviens toujours à mon point de départ ;
Je ne m'avance, je ne me lève guère, je pleure seulement mon ère.
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